J'pense qu'on est arrivé à un stade de compréhension et d'hallucination des mesures prises et imposées de se dire une bonne fois pour toute qu'on n'a jamais été dans une gestion de crise sanitaire allant dans le sens de l'intérêt général. Au contraire, il est évident qu'il y a un intérêt "supérieur" notamment pour la gestion de la colère et révoltes des peuples, incarnées chez nous par les GJ, et qui s'est justement brusquement arrêtées avec le Covid. Parce que le niveau d'endettement depuis 2008 est tel que les câbles du chapiteaux ont commencé à péter les uns après les autres, licenciement massifs, fermetures de commerces dans les centre-villes, montants des retraits autorisés en cash toujours en baisse, etc, jusqu'à la cerise sur le gâteau, la crise interbancaire américaine qui débuta mi-septembre 2019, lisez ce qu'en disait BFM en mars 2020 :
De 100 milliards de dollars par jour, la Fed va passer à au moins 150 milliards jusqu'au 12 mars.
Depuis septembre dernier, la Fed injecte des dizaines de milliards de dollars par jour (qui sont récupérés à la fin de chaque journée) dans le marché monétaire. Auparavant, il fallait remonter à la crise financière de 2008 pour observer de telles injections de liquidités sur le marché monétaire.
Le système s'est effondré dans les logiciels des banques et il a fallu d'urgence* trouver une solution pour que l'économie réelle puisse tenir le choc, donc la ralentir dans un premier temps par le confinement du monde entier. Puis le système est gentiment en train de muter, matrix reloaded, raison pour laquelle il n'y a plus de gêne à parler ouvertement d'un big reset et d'envisager l'euro numérique.
*J'dis d'urgence pour ne pas dire que cela a pu évidemment être anticipé comme plan de secours
